Chapitre 190

KASMINE.

Les larmes avaient finalement cessé. Non pas parce que la douleur dans ma poitrine s'était atténuée, mais parce que je n'avais plus rien à donner. Mon corps avait épuisé chaque goutte.

Je restais là, les yeux vides, grelottant dans un sweat à capuche dont je ne me souvenais pas avoir enfi...

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