Chapitre 103

Ce matin-là, le vent avait des dents.

Pas assez aiguisées pour percer la peau.

Mais suffisamment pour me rappeler ce qui allait venir.

Ronan se tenait à côté de moi au sommet de la falaise, sa capuche tirée bas, ses mains sur sa ceinture, comme s'il ne pouvait pas rester immobile.

"J'ai envoyé Faye ...

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