Chapitre 68 : Un royaume d'étrangers

L'air de la nuit était vif, frais contre la peau d'Aeliana alors qu'elle errait dans les jardins du palais. Les chemins de pierre serpentaient entre des haies imposantes et des fontaines complexes, autrefois magnifiques mais désormais ombragées, silencieuses.

Elle avançait sans but, ses pensées lour...

Connectez-vous et continuez la lecture