Chapitre 64 - Le passé hante tout le monde

Les mains de Toren encadraient mon visage comme si j'étais à la fois fragile et incandescente. Sa bouche trouva la mienne—d'abord une pression lente, puis plus profonde, la chaleur se déversant en moi jusqu'à ce que mes orteils se recroquevillent dans le tapis. Il avait le goût du café et du fer, et...

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