Chapitre quatre-vingt-quatre

Les mois de "pause" nous avaient fait beaucoup de bien - du moins à moi. Je pensais que je gardais encore des rancunes, mais ensuite j'ai réalisé qu'il n'y avait rien à lui reprocher.

Il n'y avait rien entre nous qui nous empêchait de nous poursuivre l'un l'autre - enfin, sauf mon père et son insis...