Chapitre 148

Ava

Les arbres étaient trop immobiles.

Je le sentais au fond de mon estomac, comme si le vent retenait son souffle, comme si toute la forêt ressentait quelque chose de surnaturel. Mes pieds nus frappaient la terre froide, mais je ne ralentissais pas. Liam était devant moi, les épaules tendues, les...

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