Chapitre 84

Je traîne devant sa porte plus longtemps que je ne devrais, les mains enfoncées dans mes poches, me disant de frapper et ne bougeant pas d'un pouce. Finalement, je me force à lever la main, frappe contre le bois, et attends. Il y a un moment de silence, puis un bruit étouffé de mouvement à l'intérie...

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