Chapitre 176

La subtile fraîcheur de la nuit française commençait à pénétrer leurs robes de soie. Arthur et Ariel se levèrent de leurs fauteuils en osier, leur peau frissonnant sous le contraste de température. Le moment de contemplation s'était achevé, laissant place à un besoin plus terrestre de chaleur et d'i...

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