Chapitre 118

Le lendemain matin au travail, je me sens comme un zombie. J'ai enfin dormi la nuit dernière, bien que ce fût plus un effondrement par nécessité qu'un véritable repos. Je ne me sens certainement pas reposée ce matin, traînant mon corps léthargique à travers les portes du bureau jusqu'à mon cubicle.

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