CHAPITRE 102

ALARIC

La pièce était faiblement éclairée, la douce lueur de la lampe de chevet projetant de longues ombres sur les murs. Son parfum embaumait l'espace—chaud, sucré, unique. Il m'appelait, apaisant la partie de moi qui brûlait de rage quelques instants plus tôt.

J'avançai, mes mouvements lents...

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