CHAPITRE 149

WILLOW

Le silence dans la chambre d'amis n'était pas apaisant. Ce n'était pas la paix.

C'était assourdissant.

Trop assourdissant.

Suffocant.

Il m'oppressait de tous côtés, m'enserrant comme un nœud coulant, épais et lourd. Assise au bord du lit, les coudes sur les genoux, les doigts si serr...

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