CHAPITRE 48

ALARIC

Mon père finit par ralentir son pas, ses bottes frottant doucement contre le sol en bois poli.

"Il faut rester calme, Alaric," dit-il, sa voix stable mais chargée de peurs inavouées. "Se précipiter sans plan nous mènera droit à la catastrophe."

Il s’approcha, son regard se verrouillant...

Connectez-vous et continuez la lecture