CHAPITRE 72

ALARIC

Willow était étendue, immobile, sur le canapé, son visage aussi pâle que les coussins en dessous d'elle, un contraste saisissant qui me déchirait la poitrine d'une douleur si vive que j'avais l'impression d'être déchiré de l'intérieur.

Ma prise sur sa main se resserra, désespérée, cherc...

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