Le visage derrière le fantôme.

« MERDE ! » Je sifflai, me cachant derrière le cadre de lit rouillé alors qu'une botte fracassait la porte bon marché de la chambre d'hôtel, des éclats de bois volant comme des éclats d'obus. Mes mains volaient sur mon clavier, mes doigts dansant par simple mémoire musculaire. L'écran de Nico cligno...

Connectez-vous et continuez la lecture