Un baiser d'adieu.

Conner

La pièce était silencieuse, à l'exception de sa respiration régulière, douce et calme maintenant. J'étais adossé à la tête de lit, une main toujours posée sur ses côtes, non pas pour la retenir, mais pour me rappeler qu'elle était là. Vivante.

"Tu me fais une peur bleue, tu le sais ça ...

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