Chapitre cent cinquante-deux

DELILAH

Je ne crie pas parce que - eh bien - à quoi bon ? En vingt et un ans, je n'ai encore jamais entendu parler de quelqu'un qui se soit sauvé d'une mort subite en criant pour sa vie. C'est déjà fini. Autant l'accepter. Maintenant, si seulement j'avais un moyen de ne pas ressentir la doule...