Chapitre cent cinquante-sept

DELILAH

Je me réveille dans le froid d'un matin brumeux aux bruits fous de mon frère Cane et de son imbécile d'ami Charlie en train de charger le pickup pour que nous puissions retourner en Oregon.

"Si on y va maintenant et qu'on leur dit ce qu'on a vu, ils doivent nous laisser entrer!" dit Can...