Chapitre trois cent quatre

PAUL

La voix de Marie Monet chantait dans le téléphone, épaisse de gaieté et lourde de la sagesse que l'on ne peut acquérir qu'en voyant trop de morts. Ou en invoquant trop souvent les ténèbres. "Bonjour, petit loup. Ça fait longtemps. Tu as besoin de quelque chose, n'est-ce pas ?"

Avec Anasta...