Chapitre trois cent quatre-vingts

GRYFFIN

Marie Monet était autrefois belle. Je le sais parce que je peux la voir dans les souvenirs de Maeve.

À une époque, ses cheveux formaient un rideau soyeux noir qui ondulait et coulait avec le mouvement. Sa peau ? Comme un café noir lisse, brillant sous le soleil chaque matin quand elle ...