CHAPITRE SOIXANTE ET UN

ASHLEY

Quelle. Journée.

Je me frottai le front, expirant lentement. Mon cerveau était grillé, ma patience inexistante, et à ce stade, la seule chose capable de me remonter le moral était la caféine.

Oui. Du café. Une tasse forte, brûlante, potentiellement révolutionnaire de café.

Je venais à pei...