Le voyage commence, deuxième partie

« C’est pour ça que je suis là ! » Je fais remarquer en levant les mains pour écarter le brouillard. En le divisant suffisamment pour dégager notre vue sur quelques centaines de mètres, nous obtenons un chemin presque ininterrompu à suivre, en le repoussant au fur et à mesure. C’est lugubre et morte...