Chapitre 68

Zirah

Je suis traînée à travers le château, l'air glacé mordant ma peau nue, la hérissant de peur et de froid. Mon cœur bat la chamade alors que je me débats contre les hommes qui me tiennent, leurs mains agrippant des endroits que j'aimerais pouvoir couvrir. Ma nudité ne fait qu'ajouter à ma vulnér...